- 15 km dans la théorie, en réalité 24.
Bien que j’avais réservé à La Laguna, j’avais décidé d’aller a l’albergue de O Cebreiro, au col a 1320 mètres. Alors comme la montée était annoncée très dure, je me suis réveillé à 5h30, après une très bonne nuit. Et je suis parti vers 6h. Une nuit bien noire, pas de lune. Et puis une petite lumière arrêtée devant moi, » tiens, un lutin » me dis-je. Je double et j’entends croevmon prénom. C’est, mon ami Denis il a reconnu le béret. Donc on continue à marcher ensemble, à passer quelques villages mais les bars sont fermés. Je n’ai pas pris mon p’tit-déjeuner. Et puis alors que je.marche depuis presque 7km, à Las Herrerias, des pèlerins attendent devant un bar. Nous sommes tous en attente de petit-déjeuner. Le bar ouvre…
Et Denis et moi nous repartons les premiers, et c’est là qu’on s’est trompé d’aiguillage. Nous n’avons pas trouvé les flèches et avons repris la route. Et le jour s’est levé.
Nous étions bien seul mais on discutait. On attendait le Chemin. Eh bien point de Chemin. On s’en ai aperçu 6 km plus loin, un espagnol était dans le même cas. Nous etionsvtrop loin pour faire demi-tour, nous aurions dû.
Alors on a continué la route, on a fait une petite pauses à xxxx, il nous reste 4 km à faire.
Enfin, nous sommes arrivés à O Cebreiro et retrouvé les copains. Pour ma part je n’étais pas content, vraiment pas. On va à l’Albergue, il fallait attendre une demi-heure l’ouverture. Je regarde travers les fenêtres, une pièce de 100 lits.
J’ai alors décidé d’aller à l’Albergue où j’avais réservé. 2 km en arrière qui se sont faits très facilement.
Et j’ai pu admirer la montagne. Enfin. Demain je ne partirai pas de bonne-heure pour voir le levé de soleil et je n’ai que 22 km à faire.
Et O Ceibreiro un village purement touristique, pas ceux qui m’attirent. Langis m’a dit que je pouvais aller me faire tamponner à l’église. J’y suis allé mais le prêtre était occupé à faire la messe. Alors pas de tampon sur ma créanciale.
Je viens d’apprendre qu’il ne faut pas partir quand il fait nuit, c’est trop dangereux. C’est vrai que parfois il y a le vide à un mauvais pas de nous. Je partirai donc vers 8 heures comme prévu.
Un breton vient d’arriver, je l’attends pour dîner. C’est Maxime, on passera la soirée ensemble. Une Belle rencontre.
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