18 petits km, mais pas les meilleurs.
Petit-déjeuner à l’albergue. J’ai pris mon temps, mais il y a toujours des pèlerins qui se lèvent très top et qui n’ont toujours pas compris que d’autres étaient présents.
Là, il est 22h05 et il y a une femme qui n’arrête pas de jacter. Le silence est prévu à 22h avec l’extinction des lumières…
Donc je reviens au départ. Il est 7h 30 à peine quand je quitte l’albergue. Une pèlerine me met sur le Chemin car je ne l’avais pas vu. Une gentille espagnole, celle à qui j’avais rapporté le gant.
Le sentier longe la nationale, rien de bien folichon. On traverse des villages mais rien d’ouvert.
J’avance vite, peut être trop vite, mon dos me le dit ce soir. Mais je suis pressé d’arriver. Je rencontre les deux angevins au pied d’une montée toute en ligne droite et dans la banlieue de Léon.
On continuera ensemble puisqu’ils sont à la même albergue.
Enfin en arrivant dans Léon, on trouve un bar. Pase café.
Léon est une grande ville, notre gite est à l’entrée, à 2 km de la cathédrale.
Et quand on ouvre la porte, on trouve Sylvie, Janet, Langis et Rob.
J’irai déjeuner avec eux et ensuite on se sépare dans Léon, je visite la cathédrale.
Je repars à l’Albergue et je les retrouve devant moi je les vois qui prennent une rue puis demi-tour, une autre rue, bref ils sont paumés. Pas moi…J’ai mon application Maps.me, merci Richard. Et on rentre pour une bonne sieste.
Ce soir diner à l’albergue, une salade et un tour en ville en bus et retour. Demain j’ai 26 km à faire.
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