26,5 km et sans aucun problème. Maintenant c’est banal. Jamais je n’aurai pu imaginer celà.

Un départ vets 6h50, une arrivée à 13h30. Vous voyez 27 km se font facilement et je ne suis pas fatigué quand j’arrive. Je précise : je porte mon sac à dos.

Un parcours moyen, il faut accepter le Chemin. On suit la route sur un espace dédié, on est en sécurité. La ligne de chemin de fer est aussi proche, on verra le TGV espagnol. Le premier village est à 8 km, peu importe on marche. On avance. Il fait frais mais le soleil se réveille toujours un peu après nous et de plus en plus tard. Il doit être fatigué. Sue le parcours un gant est à terre, je le ramasse, je trouverai bien la Manon qui va dedans, Et Je retrouve avec le plus grand plaisir mon  équipé canadienne. Ils pensent connaitre la main. On la retrouver à au bout d’un bras sur un corps d’une Espagne ravie de retrouver son gant. Elle fera la bise à Langis… et devant les protestations tout le monde aura la bise et elle me remerciera chaleureusement. Pourtant c’est si simple de ramasser un objet et de le rendre…

Je continuerai de archer avec Janet, on parlera diabète, elle connaît bien ce domaine. Et on arrive à Reliegps de las mayas,il est 11h45, on a fait une vingtaine de km. On déjeune, pour moi la ensalada mixta (thon,  toomate, salade, bettrave, asperge) histoire d’avoir une fois par jour des crudités, denrées assez rares en Espagne. Il nous reste 6/7 km qui se feront sans problème, un saut de puce. On arrive tous ensemble à Mansilla…et mon albergue est la première. Je quitte le groupe et prends ma chambre enfin mon lit.

Après les « corvées qui n’en sont pas »  d’usage toilette et lessive je pars faire un tour dans le village.

tmp_9219-p_20160929_142942-240x427490931214J’y retrouve Denis qui arrive avec 2 heures de retard , 3/4 d’heure après son départ, il s’est aperçu s’il avait oublié sa tablette, donc demi-tour. Ensuite, comme j’ai bien tourne dans le village, je suis paumé quand j’entends mon nom. C’est Sylvie qui cherche son homme. Elle me ramène à mon albergue et on retrouve Langis à la terrasse. Langis a été cherche une assiette de charcuterie que nous avons partagée. Et la caña avec, il est temps d’aller faire une sieste. Avant de se retrouver pour le dîner.

Dîner que nous prendrons à mon albergue avec Serge un autre Canadien francophone. J’irai au Québec, ils sont vraiment supers, je me sens quebequois avec eux..mais je n’ai pas cet accent si.mélodieux.