20 km.

Ce matin mon dos s’est levé avec moi. Normal me direz vous, mais je sentais bien sa présence. Petit déjeuner et départ tranquille. Pour la première fois, je n’ai pas de réservation. Je pars pour Atapuerca à 21 ou 23 km. J’appréhende quand même. Donc un départ en douceur.

Sur un sentier le long de la N120 qu’on entend bien. Que de camions!

4 k plus loin on arrive à Villa Franca…une pause café au bar et je prends le tour d’une autre pèlerine, quand elle voit que je suis français , elle aussi on en rigole. Je repars rencontre les deux Français qui étaient avec ou au gite. Ils e font rarqier qu’il n’y a aucun bled ava.r 3h30 de marche. Il est 9h, j’achète des bocadillo au bar.

Je m’interroge alors sur on étape. Je pars.

un  canadien, François, me rejoint, il marche très vite, je me suis. Il était intrigué par ma caméra et me pose beaucoup de question sur le cinéma et mon film.

nous grimpe La camera est dans le sacons.Il fait froid, humide, on est dans les nuages surtout moi car avec l’anti- douleur je suis un peu cotonneux. La caméra a rejoint le sac.

en veut, on passe la tel le commémorative des espagnols qui se sont battus pour la liberté et qui ont été fusillé ici et enterrés en fosse commune en 1936.

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François rzars, je née suis pas, j’eco pause mon dos. Il faut qu’il tienne jusqu’à demain…

Ce passage est long, des chênes à gauche, des pins à droite. Une grande allée, un boulevard à pèlerin.

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Il y a un oasis à pèlerin, un lieu de repos, où l’on peut trouver boissons fraiches et chaudes mais la vendeuse n’est pas arrivée. Je retrouve ma Française du bar, Anne-Flore, on partira et marchera ensemble jusqu’à Saint Juan de Ortega. Nouvelle aide et petit tour dans l’église. Vraiment très belle.

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Là, j’étudie le MMDD j’arrêterai au village suivant. Pour Burgos, je ferai les 7 derniers km, traversée de la zone industrielle en bus.

Je repars seul et arrive une heure plus tard à Agès.

3 albergues , 2 sont complétés, et il reste un lit dans l’autre. Qui a dit qu’en Espagne on ne réservait pas ?

Je retrouve Alexandre, le Suisse de StJPP. On prend un café ensemble.

Et c’est le repos.

Ce soir le patron à fait les tables en fonction des langues parlées, très bonne idée. Celà nous a permis de passer une bonne soirée avant de se coucher.

Une de mes voisines ronfle. Super.