28,6 km. Encore une grosse étape.
Je me lève, j’ai une douleur au bas de la jambe droite. Je regarde ma jambe grosse plaque rouge…. je suis perplexe, qu’ai je ?
On part… on marche tous les deux, on rejoint Jean-Noël, fervent catholique.
On trouve 8 10 km plus loin un particulier qui nous serre un café moyennantv1 euro et qui vend de minuscule pâtisseries maison pour 3 euros. Dommage qu’il n’ait donne une loupe. Pas l’esprit pèlerin le bonhomme mais nous si alors on le remercie et on s’en va. Il n’y aura plus rien jusqu’à Cahors. Il ne fait pas chaud, pas de manque d’eau. Mais ma jambe se rappelle à moi régulièrement. Arrivé la descente vers Cahors. Descente en douleur. Dimfmficilevde résister mais il fait avancer. Et des que nous rentrons dans Cahors, nous allons à la première pharmacie. Le pharmacien certainement plus habitué à vendre des produits à boucher les rides me dit que je n’ai rien.
Nous repartons, allons à l’accueil pèlerin de Cahors, buvant un verre d’eau fraîche et nous rentrons dans le centre historique pour aller à notre gite.
Maintenant, vous avez compris, on va prendre notre pression et filons au gite des Jacobins où Serge nous accueil. Il regarde la jambe et me dis que c’est un début de tendinite. Il a l’expérience d’accueil et tous les ans il va à Compostelle. Il n’a peut etrevpas un doctorat en pharmacie mais lui connait.
Il me donne un gel qui.me fait un bien fou et immédiat.
On retrouve Jean-Paul et allons manger une salade en ville.
Nous rentrons et nous touchons. Vers 2h je veux aller satisfaire ses besoins naturels et là surprise je ne peux poser ma jambe au sol. Je comprends, je ne partirai pas demain. Ce n’est pas grave, mais la pensée de quitter mon Compagnon m’empêche de dormir plusieurs heures.
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