17 août – 26,5 km
Levé vers 5h15 dans le silence presque parfait. Mon sac est déjà prêt au RDC. Je descend et prend tranquillement mon petit déjeuner. Tout est prêt, Anne-Charlotte a bien travaillé. Et je pars à 6h, Coco m’a envoyé un SMS, elle est prête aussi. On se retrouve et on part. Pas de soucis majeur de direction. On marche même assez vite. Plus tard on rencontre d’autre pèlerins. Malgré nos pauses, on est devant. L’allure est bonne. Je marche avec mon Ange-gardien, ma Joséphine à moi est Coco. Régulièrement elle décroche ma gourde pour que Je boive, me ramasse mes bâtons…
Et c’est ainsi que nous arrivons à Montréal. Eh oui, nous avons tellement marché vite que nous n’avons pas vu l’Océan,il faut dire que je parle tout le temps.
J’achète mon sandwich à la boulangerie et c’est un pot au café et dégustation d’un flan maison. Coco se soumet au jeu de l’interview. On repartira, on s’aperçoit que nous avons tellement bien marché que nous arrivons à notre destination. Nous avons marché presque tout le parcours sur des sentiers, pas de grosse chaleur. Vraiment une très bonne marche de plus de 26 km.
Et c’est laCasa d’Eléna. Je suis super heureux de m’y retrouver. Dan vient nous accueillir et le reconnait, enfin surtout la caméra me dit-il.
Je suis déjà venu alors je suis accueilli comme quelqu’un de la maison. Coco hésitait à rester, plus d’hésitation, elle reste.
Plus tard j’y retrouve à ma grande joie et grande surprise Phil et deux jeunes filles. Il continuera son Chemin.
Julia, la fille d’Eléna et de Dan à du mal à me reconnaître, elle avait 1 mois l’an dernier. Cette année elle trotte bien.
Le soir il y a une très bonne ambiance à table, je mange à côté de Dan et comme l’année passée le repas est copieux et excellent. Le soucis est Coco elle a disparu…Ensoleillé, le fils de Dan, la retrouvera quelques minutes plus tard, elle étudiait les énergies dans la chapelle .
Que d’échange. On finira dehors à regarder le soleil se coucher dans la montagne, un verre d’Armagnac à la main. Merci Coco. Et on nous en offrira un deuxième.
Alors il est temps d’aller au lit.
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